Nilik, l'arc de l'esprit choisit

Certains disent que la création des arcs dans les contrés elfique est un art, ceux-là ne comprenne pas. Contrairement à ce qu'on croit, les arcs conçus par les suivants de Koeshvannah sont fabriqué avec du bois certe, mais surtout avec l'âme du concepteur. Concevoir un arc béni par la déesse est toute une entreprise en soi. Il ne faut chercher plus loin qu'un des arcs les plus célèbre du pays, Yruwin, qui a probablementété conçu par Koeshvannah elle-même et avec ces mêmes rituels il y a des milliers d'années.

Dernièrement j'ai eu l'honneur d'assisté Silréa Mélakiel, flambeau de la la troisième famille du pays et élue de Koeshvannah dans la création d'un nouvelle arc pour sa fille Aneshvannah. Nous avons dû tous d'abord voyager, ce qui est tout a fait dans les préceptes de notre déesse, jusque dans la contré lointaine de Hikoma pour trouver une branche de bois d'un bamboo très particulier qui a poussé très exactement pendant 5 siècles sur la montagne Torori. Le voyage fut laborieux, ma maitresse a donc fait appel à l'aide de la reine Elizabeth Takasaki qui connait bien les moeurs de ce pays pour l'aider lors de cette entreprise.

Lors de notre retour au pays, nous avons laissé la branche de bois bercer sous la lumière qui passe au travers les feuilles de l'arbre Valeureux pendant 1 mois avant de commencer notre laborieux travail. Tous d'abord il faut tailler le bois avec des ciseaux d'artisan elfique. Lorsque la forme et la hauteur désirer est atteinte, il faut sablé le tout avec des immense feuille rugeuses que Silréa a put trouver je ne sais ou sur Valeureux.

Finalement c'est à ce moment que le plus gros de mon travaille à commencé, en effet Silréa m'a choisit pour la décoration de l'arc aux héraldrie de Koeshvannah en sculptant le bois. J'ai choisi d'ajouté quelques petites touches plus personnalisé tel que la gravure d'une elfe a dos de licorne qui chasse avec un arc, quelques lions qui cours dans une plaine. Je ne sais pas d'ou cet imagerie mais venue mais elle me semblait approprié

Ensuite l'arc est couvert de plusieurs couche d'une huile à base d'olive elfique, qui est ensuite enchanté et béni par les prêtresse de Koeshvannah. Une dizaine de couche doit couvrir l'arc et il faut attendre très exactement sept jours, pas une heure ou deux de moins, sinon le travail ne sera pas une réussite.

Pendant que l'arc sèche, entre les couches nous avons travaillé la corde de l'arc. Nous avons demander à la dame de la forêt , Arafyelle Zaiimsaar, de nous donner gracieusement une des interminable tresse de sa belle chevelure. Les cheveux ont ensuite été tressé dans une technique ancienne que seul les plus anciens connaissent. La corde est ensuite tremper dans de la cire à base de sécression d'abeille et de d'autres insectes de la nature, pour être ensuite laisser sécher à la brise au sommet d'un très grand arbre. Lorsque la corde est sèche elle fut ensuite bénie par la première caste de notre religiom, c'est a dire l'âme de la forêt des valeureux, et l'arc est maintenant prêt à être assemblé. Pour rappeler que l'arc a des origines, j'y ais accroché un ruban venant d'Hikoma.

L'arc fait de cette conception se tend parfaitement à la force et la grandeur de sa future compagne. Finalement la touche finale et la plus importante un rituel a ensuite lieu en dessous de l'arbre des origines dirigé par lady Silrea à l'aide d'une dizaine des membre de la 2e et de la 3e caste du clergé de Koeshvannah qui vont chanter et prier pendant 3 jours sans méditer ou se reposer en s'arrêtant seulement pour boire de l'eau à tour de rôle. À la fin du rituel l'arc est batisé Nilik... En l'honneur du grand chasseur du même nom qui avait vaincu le terrible dragon rouge à deux têtes il y a un millier d'année de ça.

Lorsque le travail est complété le travail est grandiose, une vrai oeuvre d'art, des milliers d'années d'expérience passé de famille en famille pour arrivé à un travail qui frise la perfection. Silrea lance la première flèche, avec une facilité déconcertante elle disparait un millier de pied plus loin dans le grand lac sacré...

- Aganakyël Urinama, fidèle grand prêtre de Koeshvannah