Plusieurs vous diront que la malédiction est une chose atroce et affreuse qu’il faut a tout prix enrayer. Je me demandais pourquoi? Pourquoi stopper cette sensation si intense lorsque deux êtres partages leur sang. Volontairement ou non. Faire une victime, boire son sang… mes victimes… mon sang. J’étais heureux de cette malédiction. Parfois difficile maîtresse, elle m apportais le bonheur. Un bonheur sourd et brutal qui ne se goûte qu’une fois mes dents enfoncer dans la tendre chair. Oui contrairement a mes frères, sœurs, père, mère et mes cousins ma malédiction me rendait heureux ... du moins jusqu au jour ou ELLE à traversée ma vie.
J’étais bien tranquille, à siffloter en bordure du village. On ne m’aime pas au village je n’y vais qu’en cas de nécessité. J’étais proche du pont et je regardais les gens circulant sur la rue principal, lorsque qu’un ange vint illuminer ma vie. Une femme d’une si grande beauté et pureté. Blonde, grande, légerté on aurait dit un rayon de soleil vivant. Mon coeur ne battait que pour elle. Elle aurait pu prendre ma vie si brûlante et la détruire, je serais mort avec la satisfaction d’avoir été quelque chose pour elle.
Des jours durant je la poursuivais. Suivis chacun de ses pas, cacher dans l’ombre. M’introduisant chez elle, espionnant ses faits, ses gestes, son intimité. J’ai même dormit dans le grenier de sa maison pour pouvoir veiller sur son sommeil. Je la vie nue et je crus mourir de voir une si belle chose. Elle avait un dessin de couleur dans le bas du dos. Un symbole étrange pour une si belle femme. Un masque rouge souriant et un masque jaune pleurant. Mais je n’avais assez de courage pour approcher d’une créature si rayonnante. J’avais peur de l’effrayer.
J’ai passé les six mois suivants à me torturer de la voir s’embellir, de voir les autres garçons l’approcher lui faire de belle manière. Puis j’ai enfin j’eu le courage de l’approcher. Je lui fis la cours des jours, des huitaines, une infinité durant ! Quand finalement elle accepta de m’accorder une parcelle de son amour illustre, nous nous embrassâmes pour la première fois et possiblement la dernière aussi ... si les choses ne changent pas.
La proximité de son corps fut trop enivrante. Ma malédiction, mon bonheur pris le contrôle de ma raison et je la mordit dans le coup et goutta à son sang si divin ne pouvant plus m’arrêter d’être aussi heureux. Elle compris ce que j’étais ma famille était connue, pire elle vie que je ne m’arrêtais pas. Me voyant sous mon vrai jour, elle hurla et me frappa. Sortant de ma transe je la relâcha horrifier de ce que j’aurais pus lui faire. Elle m’insulta, me traita de monstre et me quitta et brisa mon cœur à jamais...
Depuis ce temps je veux partir de ce village, trouver le moyen de me guérir. Peut être qu en redevant normal, mon amour pourra survivre. Mais mon père me demande d’attendre…. Attendre quoi? Attendre qui? Il est d’accord que les malédictions qui font souffrir les Bakhan depuis la nuit des temps doit être vaincu mais il veux que j’attende… pendant ce temps ma malédiction ne me procure plus aucun bonheur. Sinon quand je ferme les yeux je la voix elle s’offrant volontairement a moi… Je dois trouver le moyen, je veux la retrouver. |