Aerandyr Lùinwë |
Barde émérite d'Ereindhur, biographe de la campagne l'héritage du sang | ||||||||||||||||||||||||
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D�tails | ||||||||||||||||||||||||
Extrait du journal d'Aerandyr:
Je suis sur le quai de la capitale de Bourges, Nazaire. Je me suis assis sur une caisse un peu à l’écart ca me permet d’observer ce qui se passe. Un bateau deux mats nommés pompeusement Courageux est à compléter ses manœuvres d’accostage et je ne peux m’empêcher de penser au temps ou j’étais sur ce bateau et que j’ai empêché une guerre. On dit que les bateaux bourgeois sont très solides, peut-être. Mais coté élégance on repassera. Vraiment il n’y a rien comme la beauté des bateaux elfique d’Ereindhur avec leur grand voile argent et leur figure de proue si belle, pleine de courbe et de beauté. Voilà les passagers qui commence a descendre, en commençant par des vulgaires humains en haillon venue grossir les rangs de la plèbe de cette ville. Dans quelques secondes elle devrait descendre... voyons voir si mes informations étaient bonnes, ah bien sur la voici. Diantre on dirait qu’elle s’est mise en beauté juste pour moi! J’approche lentement en attendant qu’on l’aide a descendre de la passerelle étroite, je me demande comment elle pourrait me résister? Honnêtement, elle n’a aucune chance. - Bonjour gente dame je suis Aerandir Lùinwë. Aer pour mes jolies amies intimes. D’ailleurs, vous pourriez très bien avoir l’incroyable chance d’en devenir une. Je me suis laisser dire que les khumanienne, comme vous, avait le sang particulièrement chaud quand on vous allume. Ce qui me définit assez bien moi-même. Ne rougissez pas je ne fait que complimenter votre beauté naturel. Ça me fait rire la jeune femme est visiblement nerveuse, probablement le choc de voir le plus beau mâle qui lui a été donné de voir de toutes sa vie. Difficile de ne pas déshabiller des yeux cette nubile beauté, ses seins bien rond mis en évidence par ce corsage ne laisse aucun doute sur le message qu’elle m’envoie, c’est clair elle a entendue parler de mes performances et entend me mettre a l’épreuve. Tiens, elle s’accroche a mon bras sans même que j’ai eu a lui demander. - Je suis un ami du grand prêtre qui vous a fait venir ici. Mais avant tout je suis une bête de scène ma tendre amie. Partout où je passe, les gens me supplie de chanter pour eux. J'ai joué à la naissance, au mariage et à la mort de certain roi. J'ai chanté les louanges de grande courtisane très connue et de demoiselles moins connus. Mais si vous le voulez, ce soir, je chanterais et danserais avec vous une symphonie de plaisir. Alors que nous sortons du quartier portuaire je remarque que sa lèvre tremble quand elle me pause sa question. Elle est si timide mais si belle. Ses beaux cheveux roux presque rouge, on dirait une pomme qui ne demande qu'à être croquée. Diantre qu’elle en pose des questions. - Vous cherchez à me vexer? Je ne suis pas qu'un vulgaire ménestrel, moi! Eux ils sont des artistes tandis que moi je suis l'art! Leur contes, chansons et danses sont généralement inspirés de mon propre travail! Je suis très souvent copié ma douce, mais jamais on ne m'égale et ce même avec les femmes. Je lui fais un petit clin d'oeil en me léchant les lèvres. Elle semble définitivement mordre à l'appât. En tout cas elle ne dit rien quand, au lieu de continuer vers le temple, je me dirige vers une auberge. - Je viens de loin vous savez, d’une famille très modeste et j’ai gravis les échelons un après l’autre. Mon père et ma mère n'étaient que de simple fermier, mais les deux avaient un amour pour la musique. C'est ainsi qu'ils ont découvert que j'avais un talent hors du commun. Que voulez vous, quand les dieux vous forge une destiné digne des plus grands héros, il est dur de s'en détourner. Vous ne me croyez pas? Je suis né dans le mois de Linde, c’est le mois du chant. Qu’elle preuve vous faut-il de plus? Pardon? Non le grand prêtres m’a demandé de vous installer ici a l’auberge. Il est en déplacement et ne sera pas de retour avant aux moins un jour. Clé en main en montant les escaliers, je la prend par la taille et la colle contre moi. La pauvre enfant elle ne peut plus se contenir car elle tremble. J’aime cette peau chaude et douce et avec cette marque sur la peau qui affuble chaque khumaniens, ça ne me rend que plus curieux. A partir de ses yeux je suis cette marque du regard jusqu'à ce qu’elle disparaisse dans son décolleté. Elle rougit en remarquant ou est plongé mon regard. - J'ai fait mon premier récital j’avais 10 ans. C’était au milieu du village ou je suis né, un jour de moisson. Tout le monde a cessé de travailler pour venir m’écouter. C'est à ce moment là qu'on reconnu mon grand potentiel. Je fus instruit à la plus belle ville du monde, Ereithreen. Tu connais? C’est la capitale du royaume elfique d’Ereindhur. Mon talent exigeait les plus grand maître et j’ai eu le plus grand parmi les plus grand, Elrond Sáralondë. Vous ne le connaissez surement pas, car sa légende n'a pas quitté les frontières d'Ereindhur. Il m'a tout enseigné et bien sur, grâce à mon talent, je l’ai rapidement dépassé. Le jour de son départ vers la terre d'exile, il m'a remis sa harpe et sa flutte fait d’argent et d’or. Il me dit qu'avec ces deux objets, je pourrais plié tous et toutes à ma, déjà fort puissante, volonté. Elle est assise sur le lit, alors je sors ma petite flutte et je joue un morceau langoureux. Je sens la pauvre fondre de plaisir et bonheur sous l’enchantement de ma mélodie. Je crois vraiment que la pauvre ne deviendra jamais une prêtresse maintenant. Que voulez-vous c’est mon devoir de faire en sorte que les belles jeunes filles reste disponibles. Et c’est aussi mon devoir de leur montrer comment on fait vraiment l’amour. - Oui ma belle j’ai beaucoup voyagé. Pourquoi tu ne te met pas a l’aise pendant que je cause? En premier lieu j’ai découvert mon pays, Ereindhur. J’ai dut y passer une bonne centaine d'année question de faire profiter mes pairs de ma divine voix. Dans mon royaume natal le nom d’Aerandir est connu autant que celui du roi. J'ai entrepris par la suite de voyager tout d’abord au royaume de Bourges, ou j’ai fait la rencontre de Ynos. Quoi? Oui je connais Ynos! Pourquoi tout le monde m’agace avec Ynos? Ne voient-ils pas que je suis plus grand que lui. Un humain… Un barde humain qui devient le meilleur ami d’un roi Elfe et capitaine de ses armées! C’est n’importe quoi! Pour me calmer je m’assois à coté d’elle et je pose ma main sur sa cuisse. - Mes exploits? Ça serait long de tout vous raconter, belle et jeune damoiselle! J'étais de la partie à la bataille final du Périgord contre l’armée orc en 10123. J’étais avec mon peuple qui se battait aux cotés des humains pour la défense du royaume d’Orogund. Plus tard, j’ai vaincu a moi seule le terrible géant Gourum et libéré la charmante fille du duc de Magellya à Humberg. Vous saviez que le bateau sur lequel vous êtes arrivé a été impliqué dans un incident qui aurait pus mener à une guerre? C’est grâce a moi et mes talents de fin négociateur si le roi de Humberg a décidé de ne pas attaquer Bourges! Je ne suis pas un paladin, mais je suis à tout de même un sauveur de la veuve et de l'orphelin. Pour moi, la liberté est loi et chacun doit être apte à faire les choses comme il entend. Elle est captivé par moi je la sens qui me désir. Je me penche près d’elle et glisse dans on oreille. - Et dans quelques minutes sublime beauté, j’entends te libérer de ta réalité et te faire goûter aux plaisirs céleste de mon corps. Mon petit jeu fonctionne, elle succombe tranquillement sous l’effet de mes attentions. La preuve, elle a simplement rougit quand j’ai commencé a défaire les lacets qui retienne son corsage, aucune protestation. - A Orogund? Vous avez de la parenté la-bas? Moi je suis moins connu mais je me suis fait un ami. Un Halfling du nom très poétique de Titus Doigtdefée. C’est le propriétaire d’une taverne dans la grande cité de Ercanthi. Si vous n’êtes jamais aller dans cette ville il faut absolument que vous y alliez. C’est la ville de tout les excès et…. Je me penche à son oreille et je lèche avant de susurrer. - …de tous les fantasme. Elle frémit de plaisir. - Pour en revenir a Titus, il à vécue une aventure plutôt hallucinante concernant la magie du sang et une démone nommé Elith. Ne tremblez pas belle demoiselle ce n’est pas si terrible que cela. Titus m’a demandé de mettre par écrit son incroyable histoire et à ma grande surprise c’est un succès à chaque fois que je la raconte. Oui nous sommes resté ami, d’ailleurs je suis censé aller le retrouver dans un mois à la ville d’Irkian - Non, il n'y a pas de madame Aer... Mais j'ai une compagne, en fait c’est plus comme une conscience. Quelque fois elle se joint a moi pour m’aider dans mes entreprises. Mais quelques fois elle pèche par enthousiaste et me nuis. Je me suis esclaffé de rire ce qui a fait que la jeune Khumanienne a froncé les sourcils. Mais comment je n’aurais pas pus rire quand Eáránë me tire la langue de cette façon? Eáránë pense que j’aurais pus faire mieux que cette nubile beauté Khumanienne. Je sais qu’elle est parfois jalouse de mes conquêtes mais ça ne l’empêche pas de regarder et même quelque fois de participer. - Tu vois cette bague, et bien l’esprit d’une barde nommé Eáránë Celebrindal y est enfermé! Normal que tu ne la connaisses pas de nom, elle n’a jamais été aussi fameuse que moi et elle vient d’une autre terre nommée l’Iméllie. Après une représentation fort réussi au royaume de Lokiannie on nous appris qu'un jeune gamin était tombé dans une crevasse. N'écoutant que mon courage et ma bravoure, je me rendis sur place et je sauté dans le trou. Je trouvé le gamin inconscient au pied d’une imposante porte de bronze. L'endroit était inhabité depuis des siècles, car il y avait de la poussière partout. Sentant que mon histoire a de l’effet sur elle j’en profite pour me rapprocher d’avantage. Tandis que son corsage glisse doucement pour me dévoiler le galbe de ses seins, je laisse ma main vagabondé plus bas et doucement relevé sa robe. - Après que j’ai guéris les blessures de pauvre gamin et que je l’ai remonté a la surface. Je suis retourner explorer les lieux ou il était tombé. Il s'agissait d'une très ancienne chambre ayant appartenue à une civilisation ancienne. Sur un petit autel je vis cette bague. La pièce était couverte d’étrange rune, la plupart des petits bonhommes très simplement dessinés dans toutes sorte de pose. J’eu beau essayé il n’y avait pas moyen de déchiffrer c’est runes. Sans trop savoir ce qui m’a poussé à agir ainsi j’ai pris la bague et je l’ai glissé à mon doigt. - C’est à ce moment Eáránë est apparu pour la première fois à mes yeux. La plus magnifique elfe de feu qu’on puisse imaginer, chevelure rouge sanguin, lèvre pulpeuse, un regarde orangée a faire craquer n’importe qu’elle être sur cette planète. La plus belle Ariates qu’il m’est été donné de voir. Je me suis mis à discuter avec elle, bizarrement je me suis trouvé beaucoup de point commun avec elle. Mais elle n’avais pas de mémoire de ce qui l’avait mené a cet endroit. C’est quand je suis sortie du trou et que personne d’autres que moi ne pouvait la voir que j’ai compris qu’elle était mon petit fantôme à moi. Ne vous en faites pas ma douce, elle est bien moins jolie que vous. La jeune khumanienne semble perplexe quand je me crispe. Elle ne voit pas les doigts de Eáránë qui me pousse sur les côtes. Et elle a raison de le faire car je viens de mentir, Eáránë est la plus belle créature qu’il m’est été donné de voir. - Ah oui ensuite? Et bien j’ai visité l’Éréanie avec Eáránë. Tu vois comment c’est beau comme c’est deux noms dansent ensemble? Ça ne fait pas très longtemps d’ailleurs, la jeune reine Elizabeth venait tout juste de prendre poste et j’ai chanté pour elle à son banquet. Mais je doute qu’elle se souvienne de moi, il y a plusieurs autres distractions, dont un chevalier qui ne cessait de la déshabiller des yeux. C’est vrai que c’est une belle jeune femme avec beaucoup de charme, pas autant que moi ou vous par contre. Sa robe est maintenant relevé jusqu’au genou, ses petits seins tout a fait exquis bien droit et ne demandant que mon attention. Pourtant elle continue à m’interroger timidement tout en rougissant et gloussant de plaisir. - Mes projets? Ce n’est pas tellement des projets que mes devoirs. J’ai reçu un message exprès ce matin venant du roi elfes lui-même. C’est pour vous dire comment on m’apprécie dans mon pays. Le roi me demande de me trouver a Irkian le mois prochain pour un départ vers une grande mission. Je vais devoir en effet combattre un dieu. Ni plus ni moins… Quand elle me parle de relation et de couple, je lui souris car ma main vient tout juste d’effleurer son sexe humide. Serait-elle en train de s’imaginer qu’elle pourrait s’attacher a moi. La pauvre elle ne comprend pas que demain matin elle va se réveiller seul…. Mais oh combien satisfaite! - Vous savez bel oiseau, on m'a offert de marier des comtesses, des duchesse et même deux princesses. Avoir voulu m'établie et vivre la vie d'homme rangée, je l'aurais déjà fait. Mais le monde besoin d’entendre ma voix et mes histoires. Je ne suis pas l’homme d'une seule femme. Bien qu’en ce moment ma très cher toute mon attention est dédié a votre plus grand plaisir. Aerandir est malheureusement décédé sous les cris percants d'une Banshee sur l'ile de Budaï. La mage de la terre et de bois Silréa lui a crée une tombe ancestrale digne de son nom. C'est présentement Titus qui garde jalousement la bage d'Aerandir en attendant de trouver une barde digne de la porter. | ||||||||||||||||||||||||
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