Kozakura Renshi

Originaire de la ville de la ville d’Hakata sur la cote sud de l’ile d’Okidawa, Kozakura Renshi a connu une enfance empreinte de discipline et de travail. Fils unique de Damro Renshi, maitre du combat non-armée et guide spirituel du dojo du tigre. Damro enseignait une méthode de combat nommé shotokan inspiré des mouvement gracieux des félins et plus particulièrement du tigre. Le style de combat est a la base destiné à parer les coups de l’adversaire et utilisé la puissance des coups et du mouvement de son adversaire pour désarmer, faire tomber ou chuter l’adversaire.

Sans frère, ni sœur Kozakura était un enfant à la fois gâtée mais de qui on exigeait beaucoup. Son père le fit entrer à son dojo alors qu’il n’avait que 3 ans. Pour compenser sa mère le couvrait de petites attention. Elle chantait entre autres plusieurs chansons pour l’endormir le soir. Elle participait aussi souvent à ses jeux. Pour une raison qu’il ignorait Kozakura n’avait pas beaucoup d’ami, il n’allait pas a l’école et quand il voyait des enfants de son âge c’était de loin. Personne ne semblait vouloir l’approcher et ce même quand il eut 12 ans.

Il avait pourtant un ami, un jeune homme de 18 ans nommé Tasako Mifune, un jeune guerrier que son père formait et qu’il avait accueillis dans sa maison comme son propre fils. Tasako était comme le grand frère de Kozakura et les deux devinrent rapidement inséparable.

A l’époque le clan Akuma Akusei (Mauvais démon) était crains mais pas encore bannis. Kozakura les connaissait bien car il les voyait souvent roder dans la ville et autour du dojo. En leurs présences son père devenait un autre homme, résigné, passif, triste. Pour sa part sa mère se cachait ou s’enfuyait quand elle en voyait un.

Un soir Kozakura dormait paisiblement lorsqu’il entendit son père crier de douleur. Les bruits ne venaient pas de la chambre de ses parents mais bien du dojo. Il s’y précipita et fut sous le choc, il vit son père gisant au sol dans une mare de sang entouré d’une dizaine de samouraï du clan Akuma Akusei autour de lui. Certains avaient le katana sortie et ensanglanté et riait en regardant Damro Renshi expirer son dernier souffle. Kozakura allait crier et se précipiter en avant lorsqu’une main se glissa sur sa bouche et une autre pour le retenir.

- Non Koza... Il est trop tard, ils sont trop nombreux et assoiffée de sang. Viens on va allez chercher ta mère et puis s’enfuir, lui dit Tosako en chuchotant.

Les deux frères se rendirent à la maison vers la chambre de sa mère et la Kozakura vis un spectacle encore plus effrayant. Un oni de couleur rouge portant une effroyable mailloche frappait le corps inerte et ensanglantée de sa mère sous l’œil de deux autres samouraï du clan Akuma Akusei.

Une fois le choc passé les deux jeunes hommes constatèrent que le clan avait décidé de prendre contrôle de la ville en conséquence les deux jeunes hommes décidèrent de quitter la ville en direction de la capital. Mais c'était a l'époque de la guerre entre clan et personne a Edo ne trouva le moyen d'aller secourir rapidement les habitants d'Hakata. Puis Kozakura connu une grande tristesse lorsque son frère l'abandonna au monastère d'Edo pour allez se joindre à la guerre.

Mais avec le temps Kozakura connu un grand réconfort avec les moines. C'était dans les cordes de ce qu'il avait connu avec le dojo de son père. Il retrouvait la un terrain familier, ou la force physique et la spiritualité s'entremêlait pour former la juste harmonie et l'équilibre recherchée pour l'élévation de l'âme. Pendant les années qui suivirent Kozakura absorba toutes l'enseignement qu'il pouvait. Puis ce fut le temps d'une grande offensive contre les forces noires qui avaient entre temps tenter d'envahir Hikoma.

Kozakura et certains moines se joignirent à l'effort de guerre contre les onis, morts vivants et toute la racaille des sous-mondes. Kozakura retrouva même son demi-frère et combattit a ses cotés avec grand bonheur. Puis après la guerre Kozakura retourna au monastère ou il devint une des figures proéminente de la vie monastique de la communauté a cause de son ancienneté et ses exploits.